Mercedes-Benz Classe S : et voici la version ultra luxueuse Maybach

by David Jérémie

Dans la catégorie des berlines de luxe, la Mercedes Classe S avait déjà considérablement élevé son niveau de jeu. Était-il possible de monter encore d’un cran ? Visiblement oui avec le blason Maybach ; de quoi satisfaire une clientèle aisée qui ne se refuse rien en matière d’ultra luxe. Il faut dire que ce sont surtout les passagers aux places arrière qui seront les mieux lotis.

Habitués de cet ultra luxe à l’attention de leurs richissimes clients, Bentley et Rolls-Royce doivent désormais composer avec Mercedes à travers sa déclinaison Maybach qui, d’ailleurs, est dévoilée moins de trois mois après la Classe S «classique». Dans le détail, cette version profite d’un empattement allongé de 18 cm par rapport à la version limousine (qui a déjà 11 cm de plus par rapport à la Classe S de base). Il intègre aussi une troisième vitre latérale. Autres éléments esthétiques distinctifs, la calandre à lamelles verticales, mais aussi la ligne sur le capot et les prises d’air, toutes deux chromées.

S’agissant des teintes de carrosserie, l’engin est disponible avec des silhouettes bicolores, la ligne de séparation étant peinte à la main. Il va sans dire que les places de choix dans cette limousine sont à l’arrière. Faut-il souligner que les portes ont été agrandies pour faciliter l’accès. Mieux, elles se referment électriquement si besoin est (en option). Au rayon aménagement, les sièges arrière peuvent être assimilés à de véritables fauteuils «first class» à l’instar de ceux qui sont présents justement en première classe dans les aéronefs.  

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Parmi les équipements de confort, on dénombre un chauffage de nuque et d’épaules ou un support de mollets massant, voire une glacière histoire de garder à bonne température le champagne. Tout de même, le chauffeur aura pour sa part une planche de bord qui fait la part belle aux écrans en guise de console centrale. Pour l’aider à manœuvrer ce palace roulant, il y a deux options de roues arrière directrices, avec un braquage des roues arrière jusqu’à 10°, ce qui fait gagner deux mètres de rayon de braquage.

A noter que la suspension pneumatique est de série, avec une caméra à même d’analyser la route en amont pour adapter la suspension et l’amortissement, en plus d’une fonction d’inclinaison dans les virages. Sous le capot, l’engin disposera  notamment d’un V8 de 560 chevaux, doté d’une micro-hybridation.

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