En ce 30 juillet 2025, la place de la préfecture de M’diq-Fnideq s’est parée d’un éclat tout particulier. Sa Majesté le Roi Mohammed VI y a reçu Gianni Infantino, président de la FIFA, dans une atmosphère mêlant solennité et chaleur humaine. À Ses côtés, Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football, ainsi que les héroïnes nationales, les Lionnes de l’Atlas, finalistes de la CAN féminine 2024. Ce moment fort, inscrit dans les célébrations du 26e anniversaire de l’accession de Sa Majesté au Trône, dépasse le simple protocole : il incarne l’attachement indéfectible du Souverain au sport marocain, moteur de fierté et de rayonnement international.
Si le Maroc a réussi à faire vibrer tout un continent avec l’organisation inédite de la CAN féminine, c’est en grande partie grâce à la vision royale. Les performances remarquables de l’équipe nationale féminine, culminant avec une finale contre le Nigeria, ont trouvé un écho symbolique dans cette rencontre au sommet. Loin d’être anecdotique, la présence du président de la FIFA dans ce cadre célébratoire témoigne d’un respect profond pour la trajectoire sportive marocaine, portée par une ambition constante et des résultats concrets.
Gianni Infantino, en villégiature familiale dans le Royaume, incarne cette relation d’estime mutuelle entre les instances mondiales du football et le Maroc. La récente inauguration du siège régional de la FIFA à Rabat ne fait que renforcer le statut du pays en tant que pôle majeur du football africain et international. L’aura du Royaume, façonnée par un travail de fond, des investissements soutenus et une politique cohérente, ne cesse de s’étendre au-delà de ses frontières.
Mais plus encore que l’infrastructure ou les trophées, c’est une philosophie du sport que Sa Majesté le Roi Mohammed VI promeut. Une philosophie où le sport devient levier de cohésion sociale, d’émancipation – notamment féminine – et de diplomatie. Avec en ligne de mire un objectif majeur : la co-organisation de la Coupe du Monde 2030 avec l’Espagne et le Portugal. Un projet ambitieux, à l’image d’un Souverain qui n’a jamais cessé de croire au potentiel de Ses sportifs, ni à celui de Son pays.
