« Héritage » : l’art comme mémoire vivante de l’AfriqueUne exposition de DJO ILANGA à la galerie Les TOURS VÉGÉTALES avec ART FIRST

by La Rédaction

L’Afrique se souvient — en couleurs franches, en regards intenses, en gestes porteurs d’histoires. Avec « Héritage », sa première exposition personnelle au Maroc, l’artiste congolais DJO ILANGA déploie un univers vibrant et habité, présenté par ART FIRST à la galerie Les TOURS VÉGÉTALES à Casablanca. C’est un cri du cœur, un acte de mémoire et de transmission.
Originaire de Kinshasa, autodidacte engagé, DJO ILANGA compose une œuvre enracinée dans les traditions africaines et tournée vers l’avenir. À travers des portraits expressifs et des scènes du quotidien, il rend hommage à une Afrique multiple, résiliente, lumineuse — portée par ses femmes, sa culture populaire, ses héritages vivant.
« Hériter, ce n’est pas seulement recevoir. C’est choisir ce que l’on garde, ce que l’on transforme, ce que l’on raconte. »
Et c’est bien cela que fait DJO ILANGA : il raconte. Avec son style puissant et coloré, il relie le passé au présent, la mémoire à l’identité
-Le wax comme signature et symbole
Le wax, tissu emblématique de l’Afrique de l’Ouest, occupe une place centrale dans son œuvre.
Le wax incarne la fierté, la transmission, l’appartenance. À travers ces motifs textiles intégrés à ses toiles, DJO ILANGA rend hommage à la force des femmes, à son enfance congolaise et aux récits collectifs d’un continent.
Comment préserver nos héritages dans un monde globalisé ? Comment transmettre sans se trahir
Installé au Maroc depuis plus de dix ans, DJO ILANGA a fait le choix courageux de quitter le monde de l’informatique pour se consacrer pleinement à l’art. Avec « Héritage », il signe une première exposition individuelle d’une grande maturité artistique.

À la galerie Les TOURS VÉGÉTALES avec ART FIRST, ce mois-ci, l’Afrique parle. Et la voix de DJO ILANGA résonne avec éclat.

   
   

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