Un nouveau sommet du luxe à Dubaï, et cette fois ce n’est pas une métaphore

by La Rédaction

Il fallait bien que cela arrive un jour : la capitale mondiale des superlatifs ajoute un trophée de plus à sa vitrine déjà surchargée. Avec l’ouverture du Ciel Dubai Marina, Dubaï signe l’inauguration de l’hôtel le plus haut du monde, un colosse de 377 mètres et 82 étages qui domine la Marina, Palm Jumeirah et l’immensité du Golfe comme un phare de verre et de béton. Dans une ville où la verticalité est devenue un art de vivre, ce nouveau géant ne se contente pas de tutoyer les nuages : il réinvente la manière de les habiter.

À l’intérieur, plus de mille chambres s’ouvrent sur des panoramas à couper le souffle, mais ce sont surtout les expériences qui donnent au lieu son aura. Parmi elles, une piscine à débordement perchée au 76ᵉ étage, l’une des plus hautes du monde, qui transforme chaque baignade en vol plané au-dessus de la ville. L’hôtel déroule également un gym accessible 24h/24, huit restaurants dont un Tattu déployé sur trois niveaux, et un spa annoncé pour 2026 qui promet déjà de devenir l’un des sanctuaires de bien-être les plus convoités de la région. L’ensemble respire un luxe contemporain et organique, pensé comme une oasis verticale où l’on circule non plus en fonction des étages, mais des univers.

   

Ce nouveau mastodonte ne fait pas que battre des records : il incarne la direction que Dubaï choisit pour l’hôtellerie de demain. Une hôtellerie plus immersive, plus spectaculaire mais aussi plus intégrée à son environnement, où le design se met au service d’une expérience sensorielle quasi cinématographique. À travers le Ciel Dubai Marina, la ville confirme son ambition d’être non seulement un carrefour touristique mondial, mais aussi un laboratoire de l’hospitalité du futur, où chaque projet doit surprendre plus que le précédent.

Reste la question que tout le monde se pose : jusqu’où Dubaï ira-t-elle dans cette course au vertige et à la démesure ? Difficile à dire. Mais une chose est sûre : avec cet hôtel, la barre – littéralement – vient d’être placée très haut.

   

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